H Une société de violeurs
2012
137 p.
H 2.2 IAC
14 euros
3365
Mots cles : VIOL / VIOLENCE SEXUELLE / FEMINISME / CRIME / SEXISMECe qui s’est joué en France autour de l’affaire du Sofitel de New York, c’est moins la vérité des accusations contre un homme promis à la magistrature suprême quele procès de l’impunité du viol dans notre pays. Pourtant, depuis le début des années 1980, la France est, avec les États-Unis et la Grande-Bretagne, l’État démocratiquequi réprime le plus sévèrement et le plus efficacement ce crime. Alors, que réclament donc les mouvements féministes concernant le droit du viol ? À travers une lecture décapante et implacable des interprétations de l’affaire du Sofitel qu’ont livrées ces mouvements et les médias, Marcela Iacub analyse le contenu de ces nouvelles revendications juridiques ainsi que les risques qu’elles font peser sur nos libertés, les rapports entre les sexes et l’émancipation des femmes.
C’est parce que le viol est un crime particulièrement grave qu’on ne peut pasaccepter qu’il soit instrumentalisé par une idéologie faisant de la haine des hommes et de l’horreur du sexe ses principaux objectifs politiques. Il est peut-être temps d’entendre une voix féministe alternative pour tenter de comprendre ce qui s’est réellement joué en France à l’occasion de cette affaire.
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1 | H 2.2 IAC | [disponible] |
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