Dans un premier temps, Laëtitia Négrié tente de comprendre comment les représentations sociales de l'accouchement ont permis au corps médical d'excercer progressivement un pouvoir sur les femmes qui accouchent. Elle détaille ensuite l'exercice de ce pouvoir avant de questionner la place du féminisme autour de la grossesse et de l'accouchement. Elle présente enfin des pistes éventuelles d'actions pouvant participer à la poursuite et l'extension des luttes féministes pour le droit à disposer librement de son corps.
Remarque : ce mémoire ayant été diffuser sur Internet, il ne dispose pas de ses annexes.

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