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Documents  LEGUIL, Clotilde | enregistrements trouvés : 1

     

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V

- 218 p.
Cote : H 2.2 LEG

" « Céder n’est pas consentir. » Cela semble une évidence. Il faut affirmer l’existence d’une frontière entre « céder » et « consentir ». Pourtant, il existe quelquefois une proxi mité dangereuse entre les deux. Le consentement en effet comporte toujours un risque : jamais je ne peux savoir à l’avance où celui-ci me conduira. Se pourrait-il dès lors que le consentement laisse la voie libre au forçage ? L’expérience de la passion, l’angoisse dans le rapport à l’autre, l’obéissance au Surmoi peuvent brouiller la frontière au sein même du sujet entre le consentement et le forçage. À partir de l’actualité du mouvement #MeToo et du récit de Vanessa Springora, Clotilde Leguil explore les racines subjectives du consentement. Depuis la psychanalyse, elle montre que le désir n’est pas la pulsion et que la confrontation au forçage laisse une marque ineffaçable. Pourquoi ne puis-je rien en dire une fois que celui-ci a eu lieu ? Comment à nouveau consentir à dire ? "
Résumé éd.
" « Céder n’est pas consentir. » Cela semble une évidence. Il faut affirmer l’existence d’une frontière entre « céder » et « consentir ». Pourtant, il existe quelquefois une proxi mité dangereuse entre les deux. Le consentement en effet comporte toujours un risque : jamais je ne peux savoir à l’avance où celui-ci me conduira. Se pourrait-il dès lors que le consentement laisse la voie libre au forçage ? L’expérience de la passion, l’angoisse dans ...

CONSENTEMENT ; CLINIQUE ; POLITIQUE ; DESIR ; TRAUMATISME ; PSYCHANALYSE ; VIOLENCE SEXUELLE

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