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Documents  Haut conseil à l'égalité entre les femmes et les hommes | enregistrements trouvés : 14

     

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- 35 p.
Cote : BRO HCE

" Discours, colloques, affiches, vidéos, sites web, textes officiels, nominations des équipements et des rues : la communication des pouvoirs publics, qu’elle soit interne ou externe, prend des formes très diverses. Sans une vigilance continue, les stéréotypes de sexe sont reproduits, parfois de manière inconsciente. Leur présence se manifeste par trois aspects. D’abord, un fort déséquilibre entre le nombre de femmes et le nombre d’hommes représenté.e.s. Ensuite, un enfermement des femmes et des hommes dans un répertoire restreint de rôles et de situations, limitant de fait leurs possibilités d’être et d’agir. Enfin, une hiérarchisation des statuts et des fonctions de chaque sexe au détriment des femmes. "
Ce guide propose 10 recommandations pratiques pour une communication publique sans stéréotype de sexe.
" Discours, colloques, affiches, vidéos, sites web, textes officiels, nominations des équipements et des rues : la communication des pouvoirs publics, qu’elle soit interne ou externe, prend des formes très diverses. Sans une vigilance continue, les stéréotypes de sexe sont reproduits, parfois de manière inconsciente. Leur présence se manifeste par trois aspects. D’abord, un fort déséquilibre entre le nombre de femmes et le nombre d’hommes ...

SEXISME ; LANGAGE ; STEREOTYPE ; EGALITE HOMME-FEMME ; POLITIQUE PUBLIQUE ; GUIDES ; URBANISME

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- 40 p.
Cote : G 2.3 HCE

" 70% des femmes estiment ne pas avoir reçu le même traitement que leurs frères dans la vie de famille, près de la moitié des 25-34 ans pense que c’est également le cas à l’école et 92% des vidéos pour enfants contiennent des stéréotypes genrés : ces trois chiffres issus du 6ème rapport annuel sur l’état du sexisme en France sont révélateurs des causes du sexisme persistant et des inégalités ancrées dans la société. Famille, école et numérique sont les trois incubateurs qui inoculent le sexisme aux enfants dès le plus jeune âge. Il faut donc le combattre là où il nait. C’est une des principales conclusions du rapport. "
" 70% des femmes estiment ne pas avoir reçu le même traitement que leurs frères dans la vie de famille, près de la moitié des 25-34 ans pense que c’est également le cas à l’école et 92% des vidéos pour enfants contiennent des stéréotypes genrés : ces trois chiffres issus du 6ème rapport annuel sur l’état du sexisme en France sont révélateurs des causes du sexisme persistant et des inégalités ancrées dans la société. Famille, école et numérique ...

SEXISME ; FRANCE ; STATISTIQUE ; STEREOTYPE ; VIOLENCE SEXUELLE ; FAMILLE ; ECOLE ; NUMERIQUE ; PREVENTION DE LA VIOLENCE

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- 21 p.

" Deux ans après le remboursement de certains préservatifs masculins par la Sécurité sociale, l’augmentation de son utilisation, liée notamment à un coût moins élevé, laisse espérer qu’il pourrait en être de même pour leur version féminine. A priori méconnu du grand public et trop peu utilisé en France, le préservatif féminin présente pourtant de nombreux avantages : une grande efficacité contre les grossesses non désirées, un niveau élevé de protection contre les infections sexuellement
transmissibles (IST), un dispositif qui préserve un niveau élevé de sensations, tout en permettant aux femmes de garder la maîtrise de leur contraception et de leur sexualité. C’est le seul et le meilleur moyen de protection contre les IST laissé à la seule maitrise des femmes. En outre, il offre aux femmes un autre choix que le préservatif masculin. "
" Deux ans après le remboursement de certains préservatifs masculins par la Sécurité sociale, l’augmentation de son utilisation, liée notamment à un coût moins élevé, laisse espérer qu’il pourrait en être de même pour leur version féminine. A priori méconnu du grand public et trop peu utilisé en France, le préservatif féminin présente pourtant de nombreux avantages : une grande efficacité contre les grossesses non désirées, un niveau élevé de ...

PRESERVATIF FEMININ ; REMBOURSEMENT ; METHODE CONTRACEPTIVE ; I.S.T.

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- 82 p.
Cote : G 2.3 HCE

Rapport "anniversaire" du Haut conseil à l'égalité, avec au sommaire :

EDITO
SECRETARIAT GENERAL
LES MEMBRES
LE MONDE, DEMAIN

• Vigilance égalité n°1 : Adapter l’IVG pour en garantir l’accès à toutes les femmes
• Vigilance égalité n°2 : Les médias en temps de crise : un prisme déformant de la place et du rôle des femmes dans le monde
• Vigilance égalité n°3 : Femmes providentielles mais femmes invisibles, sous-payées, surchargées
• Vigilance égalité n°4 : La diplomatie féministe à l’épreuve de la pandémie
• Vigilance égalité n°5 : Pénurie de médicaments : un risque d’atteinte aux droits sexuels et reproductifs des femmes
• Vigilance égalité n°6 : Pour une protection réelle des femmes victimes de violences conjugales : quatre leviers essentiels
• Vigilance égalité n°7 : L’éga-conditionnalité comme moteur de sortie de crise
• Vigilance égalité n°8 : Parité dans les exécutifs locaux : une occasion manquée ?

LES RAPPORTS
• Rapport additionnel au rapport de mise en œuvre par la France de la plate-forme d’action de Pékin (Pékin +25)
• Violences conjugales : pour une culture de la protection des femmes et des enfants
• Accès des femmes aux responsabilités et rôle levier des financements publics
• Rapport annuel sur l’état des lieux du sexisme en France
• Prendre en compte le sexe et le genre pour mieux soigner : un enjeu de santé publique (à paraître en 2020)
• Rapport sur les violences conjugales (à paraître en 2020)
• Rapport Parité Volet 2 (à paraître en 2020)
• Rapport sur la Diplomatie féministe (à paraître en 2020)


LES 5 COMMISSSIONS DU HCE :
• Enjeux européens et internationaux
• Parité en matière politique, administrative et dans la vie économique et sociale
• Santé, droits sexuels et reproductifs
• Lutte contre les stéréotypes et la répartition des rôles sociaux de sexe
• Violences de genre
Rapport "anniversaire" du Haut conseil à l'égalité, avec au sommaire :

EDITO
SECRETARIAT GENERAL
LES MEMBRES
LE MONDE, DEMAIN

• Vigilance égalité n°1 : Adapter l’IVG pour en garantir l’accès à toutes les femmes
• Vigilance égalité n°2 : Les médias en temps de crise : un prisme déformant de la place et du rôle des femmes dans le monde
• Vigilance égalité n°3 : Femmes providentielles mais femmes invisibles, sous-payées, surchargées
• Vigilance ...

AVORTEMENT ; CONDITION FEMININE ; EGALITE DES SEXES ; FEMINISME ; DROIT ; SEXUALITE ; VIOLENCE CONJUGALE ; PARITE HOMME-FEMME ; POLITIQUE ; GENRE

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- 133 p.
Cote : RAP HCE

Le Haut Conseil à l’Egalité publie ce jour son 1er état des lieux du sexisme en France, conformément à la mission confiée par la loi relative à l’égalité et la citoyenneté du 27 janvier 2017. Ce rapport a pu néanmoins bénéficier des contributions de l’ONDRP, du CREDOC et de la DREES.
Les constats soulevaient par le Haut Conseil à l'Egalité montre que :
-Le sexisme est une idéologie
-Le sexisme une idéologie dangereuse
-Le sexisme est toujours d’actualité, très répandu et pourtant, encore très peu condamné
-Le sexisme est un ressort fréquent de l’humour
-Les injures sexistes sont, elles, une violence du quotidien,
Le Haut Conseil à l’Egalité appelle donc au lancement d’un premier Plan national contre le sexisme 2019-2022 qui porte l’exigence d’une culture des droits et de l’égalité femmes-hommes reposant sur 5 axes :
• Mieux mesurer le sexisme,
• Faire reculer le sexisme en permettant de mieux le repérer
• Faire reculer le sexisme en condamnant davantage les auteurs
• Accompagner les victimes de sexisme
• Garantir une action publique exempte de tout sexisme
Selon Danielle Bousquet, Présidente du HCE : « Le sexisme, ce n’est pas une fatalité et ça n’a rien de naturel. C’est une idéologie mortifère, qu’il faut combattre avec vigueur ».
Le Haut Conseil à l’Egalité publie ce jour son 1er état des lieux du sexisme en France, conformément à la mission confiée par la loi relative à l’égalité et la citoyenneté du 27 janvier 2017. Ce rapport a pu néanmoins bénéficier des contributions de l’ONDRP, du CREDOC et de la DREES.
Les constats soulevaient par le Haut Conseil à l'Egalité montre que :
-Le sexisme est une idéologie
-Le sexisme une idéologie dangereuse
-Le sexisme est toujours ...

SEXISME ; ENQUETE ; LEGISLATION ; DEFINITION ; FRANCE

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- 172 p.
Cote : I 1.1 HCE

" Les actes sexistes durant le suivi gynécologique et obstétrical sont des gestes, propos, pratiques et comportements exercés ou omis par un.e ou plusieurs membres du personnel soignant sur une patiente au cours du suivi gynécologique et obstétrical et qui s’inscrivent dans l’histoire de la médecine gynécologique et obstétricale, traversée par la volonté de contrôler le corps des femmes (sexualité et capacité à enfanter). Ils peuvent prendre des formes très diverses, des plus anodines en apparence aux plus graves et sont le fait de soignant.e.s – de toutes spécialités – femmes et hommes, qui n’ont pas nécessairement l’intention d’être maltraitant.e.s. "
Pour faire du suivi gynécologique et obstétrical des femmes un parcours qui n’entrave ni leurs droits, ni leur autonomie, le Haut Conseil à l’Egalité formule dans son rapport 26 recommandations, articulées autour de 3 axes :
• reconnaître les faits, c’est-à-dire l’existence et l’ampleur des actes sexistes dans le suivi gynécologique et obstétrical
• prévenir les actes sexistes, via la formation des professionnel.le.s de santé, l’inscription de l’interdiction des actes sexistes dans le code de déontologie médicale, et la mise en œuvre des recommandations de bonnes pratiques existantes
• faciliter les procédures de signalement et condamner sans détour les pratiques sanctionnées par la loi, via l’information des femmes sur leurs droits, l’implication des ordres professionnels et la formation des personnels en contact avec les femmes.
" Les actes sexistes durant le suivi gynécologique et obstétrical sont des gestes, propos, pratiques et comportements exercés ou omis par un.e ou plusieurs membres du personnel soignant sur une patiente au cours du suivi gynécologique et obstétrical et qui s’inscrivent dans l’histoire de la médecine gynécologique et obstétricale, traversée par la volonté de contrôler le corps des femmes (sexualité et capacité à enfanter). Ils peuvent prendre des ...

GYNECOLOGIE ; VIOLENCE ; ASPECT MEDICAL ; SEXISME ; VIOLENCE A L'EGARD DE LA FEMME ; SIGNALEMENT ; POUVOIR MEDICAL

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- 55 p.
Cote : G 2.3 HCE

L’école est un haut lieu de socialisation et donc de développement intellectuel, social et affectif : les élèves y passent environ 30 heures par semaine pendant les 18 ans que dure en moyenne leur scolarisation. Elle est également à l’image de la société : elle est traversée par des inégalités sociales, liées à l’origine sociale ou au sexe, qu’elle peut reproduire. Pour changer durablement les mentalités et déconstruire les stéréotypes de sexe, l’éducation à l’égalité doit commencer dès le plus jeune âge.
Enseigner est un métier qui s’apprend, enseigner de manière égalitaire s’apprend également et fait partie des missions des personnels. Pour mener cette mission à bien, les enseignant.e.s, comme tous les personnels d’éducation, doivent y être formé.e.s.
Le HCE constate toutefois que la formation à l’égalité ne bénéficie qu’à une minorité des 900 000 personnels enseignants et non-enseignants qui travaillent dans les écoles, les collèges et les lycées.
Dans ce rapport, le Haut Conseil à l’Egalité recommande :
- de renforcer et généraliser la formation initiale des personnels sur l’égalité filles-garçons
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L’école est un haut lieu de socialisation et donc de développement intellectuel, social et affectif : les élèves y passent environ 30 heures par semaine pendant les 18 ans que dure en moyenne leur scolarisation. Elle est également à l’image de la société : elle est traversée par des inégalités sociales, liées à l’origine sociale ou au sexe, qu’elle peut reproduire. Pour changer durablement les mentalités et déconstruire les stéréotypes de sexe, ...

EGALITE HOMME-FEMME ; FORMATION PROFESSIONNELLE ; ENSEIGNEMENT ; ENSEIGNANT ; GENRE ; RELATION FILLE-GARCON ; STEREOTYPE ; OUTIL PEDAGOGIQUE ; MILIEU SCOLAIRE

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- 17 p.
Cote : RAP HCE

42 ans après le vote de la loi Veil, le HCE dresse un bilan positif des actions mises en oeuvre ces dernières années pour faciliter l’accès à l’avortement et identifie quelques obstacles pouvant encore être levés.
Il établit que :
1. le droit à l’avortement a été significativement réaffirmé : d’un droit à part, il a été consacré comme un droit à part entière ;
2. l’information sur l’IVG a été rendue plus accessible, facilitant l’entrée dans le parcours ;
3. l’offre de soins a été développée et l’accès pratique à l’avortement a été amélioré ;
4. le pilotage a été renforcé, afin de supprimer les inégalités d’accès à l’IVG dans les différentes régions.
Pour conforter ce droit, les pouvoirs publics peuvent encore agir :
* A court terme, en examinant dans les meilleurs délais la proposition de loi relative à l’extension du délit d’entrave aux informations publiées sur l’IVG internet ;
* A moyen terme, en levant les derniers obstacles au plein accès à l’avortement (suppression de la double clause de conscience, autorisation des IVG par aspiration dans les Centres de planification familiale et d’éducation familiale (CPEF) et dans les maisons pluri-professionnelles de santé, suppression de la forfaitisation de l’IVG, renforcement de la formation initiale et continue des professionnel.le.s de santé) ;
* Dans la durée, en réalisant des testings annuels pour garantir, partout sur le territoire, les meilleures conditions d’accès à l’IVG (libre choix de la méthode, accès entre 10 et 12 semaines comme le prévoit la loi, confidentialité, gratuité, choix effectif pour les femmes sans papiers).
Alors que les gouvernements espagnol, portugais et polonais ont récemment tenté de restreindre ce droit et que certains débats politiques français peuvent laisser craindre des reculs, le HCE appelle à maintenir un portage politique fort, seule garantie de l’accès réel à l’avortement pour toutes les femmes qui le souhaitent, où qu’elles habitent.
42 ans après le vote de la loi Veil, le HCE dresse un bilan positif des actions mises en oeuvre ces dernières années pour faciliter l’accès à l’avortement et identifie quelques obstacles pouvant encore être levés.
Il établit que :
1. le droit à l’avortement a été significativement réaffirmé : d’un droit à part, il a été consacré comme un droit à part entière ;
2. l’information sur l’IVG a été rendue plus accessible, facilitant l’entrée dans le ...

AVORTEMENT ; DROIT ; LEGISLATION DE L'AVORTEMENT ; INFORMATION ; INTERNET

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- 33 p.
Cote : G 2 HCE

Ce rapport inédit, à l’initiative de la Fondation des Femmes, dresse un état des lieux des financements publics et privés en faveur des initiatives pour l’égalité femmes-hommes en France. Il met en lumière leur sous-financement, en comparaison avec des initiatives œuvrant pour des causes d’importance équivalente et avec le financement pour l’égalité femmes-hommes dans d’autres pays au même potentiel.
Le constat est clair : si des politiques en faveur de l’égalité sont effectivement développées par l’Etat et les collectivités territoriales, les budgets consacrés aux droits des femmes demeurent, au niveau national comme local, restreints et insuffisants pour la mise en pratique de ces politiques par les acteur.rice.s de l’égalité. Quant au financement privé, il est également limité. Les fondations et les fonds privés ne ciblent que très peu leur action sur le secteur des droits des femmes. Les fonds et fondations spécialisés sur le sujet sont récents et peu dotés et les dons des particulier.e.s sont insuffisants.
En 2016 le budget alloué au ministère des droits des femmes dans le cadre du programme « Egalité entre les femmes et les hommes » n’est que de 27 millions d’Euros soit 0,0066% du budget général quand le coût estimé des violences faites aux femmes est estimé à 2.5 milliards d’euros par an. A titre de comparaison, le budget espagnol consacré à la lutte contre les violences faites aux femmes est de 0,54 euros par habitant en 2016, il n’est que de 0,33 euros en France.
Conséquences de ce manque de financement : les structures et associations peinent à remplir leur mission, certaines sont forcées de fermer, les inégalités reculent lentement, les disparités géographiques se creusent et le coût pour la société des inégalités femmes-hommes augmente.
Le rapport appelle à traduire en en priorité d’investissement public et privé la volonté politique d’atteindre l’égalité femmes-hommes et à allouer des moyens suffisants à l’ensembles des programmes dédiés à cet enjeu majeur pour la société française.
Ce rapport inédit, à l’initiative de la Fondation des Femmes, dresse un état des lieux des financements publics et privés en faveur des initiatives pour l’égalité femmes-hommes en France. Il met en lumière leur sous-financement, en comparaison avec des initiatives œuvrant pour des causes d’importance équivalente et avec le financement pour l’égalité femmes-hommes dans d’autres pays au même potentiel.
Le constat est clair : si des politiques en ...

DROITS DES FEMMES ; EGALITE HOMME-FEMME ; ARGENT ; MINISTERE DES DROITS DES FEMMES ; ASSOCIATION ; FRANCE ; POLITIQUE

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- 46 p.
Cote : F 6 HCE

Le 5 octobre, le Haut Conseil à l’Egalité a publié et remis à la Ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes et à la Présidente de la Délégation aux droits des femmes et à l’égalité de l’Assemblée nationale, son Avis pour une juste condamnation sociétale et judiciaire du viol et autres agressions sexuelles.
Le viol – agression sexuelle avec pénétration – est un phénomène massif, et pourtant encore peu dénoncé et peu condamné : parmi les dizaines de milliers de victimes, environ 1 sur 10 porte plainte, et seule 1 plainte sur 10 aboutira à une condamnation. Le viol est un crime sexiste : la quasi-totalité des agresseurs sont des hommes quand l’immense majorité des victimes sont des femmes et des enfants. Enfin, le viol est une arme de destruction des femmes comme en témoignent les conséquences nombreuses qu’il génère chez ses victimes, tant physiques que psychiques.
Cinq raisons principales expliquent cette réalité inacceptable : une tolérance sociale qui peut valoriser la « culture des violeurs » et laisse peser la responsabilité sur les victimes ; une écoute insuffisante des femmes ou enfants victimes, notamment parce que les professionnel.le.s ne sont pas assez formé.e.s pour les accueillir, les protéger et les accompagner de manière adaptée ; des défaillances dans le recueil et la préservation des preuves conduisant à ce que de nombreuses affaires soient classées sans suite ; des délais de prescriptioninadaptés aux violences sexuelles et aux conséquences du choc post-traumatique qui peuvent souvent retarder longuement la révélation des faits ; la minimisation du viol du fait de sa fréquente « correctionnalisation » (le viol, un crime, est déqualifié en délit).
Les membres du Haut Conseil à l’Egalité appellent à se mobiliser à tous les niveaux pour changer la donne. Des recommandations opérationnelles à court terme ainsi que des propositions d’actions concrètes s’adressent aux pouvoirs publics, aux professionnel.le.s en contact avec les victimes, aux journalistes comme aux victimes et à leurs proches. L’Avis du HCE et ses recommandations s’articulent autour de cinq leviers essentiels : la sensibilisation de la société ; la formation des professionnel.le.s ; l’accueil, la protection et l’accompagnement des victimes ; le traitement judiciaire ; l’éducation et la protection des jeunes.
Parmi les 12 recommandations formulées par l’institution consultative indépendante, une forte attention est portée à la question de la prévention par le biais d’une 1ère campagne gouvernementale de sensibilisation consacrée au viol, ou encore à la mise en œuvre effective à l’école de l’éducation à la sexualité. Par ailleurs, considérant que parmi les victimes de viols et de tentatives de viol, 59% l’ont été pour la 1ère fois avant leurs 18 ans, et qu’en l’état actuel du droit les juges doivent avoir à caractériser le défaut de consentement y compris chez les enfants, le HCE recommande, à l’instar de ce qui existe dans nombre de pays voisins, l’instauration d’un seuil d’âge - 13 ans - en dessous duquel les mineur.e.s sont présumé.e.s ne pas avoir consenti à un acte sexuel avec une personne majeure. Pour les mineur.e.s de 13 à 18 ans le droit actuel continuerait de s’appliquer.
Enfin, des expériences probantes en France et à l’étranger montrent que lorsque l’accueil et la prise en charge d’urgence des victimes de viols sont adaptés, les taux de plainte sont multipliés par trois. En conséquence, le HCE recommande de faciliter le parcours des victimes (prise en charge sans dépôt de plainte préalable ; professionnel.le.s coordonné.e.s et formé.e.s ; meilleure conservation des preuves ; remboursement des soins médicaux, notamment psychologiques ; accès au droit à l’indemnisation…).
Le 5 octobre, le Haut Conseil à l’Egalité a publié et remis à la Ministre des Familles, de l’Enfance et des Droits des femmes et à la Présidente de la Délégation aux droits des femmes et à l’égalité de l’Assemblée nationale, son Avis pour une juste condamnation sociétale et judiciaire du viol et autres agressions sexuelles.
Le viol – agression sexuelle avec pénétration – est un phénomène massif, et pourtant encore peu dénoncé et peu condamné : ...

VIOL ; VIOLENCE SEXUELLE ; ASPECT JURIDIQUE ; FORMATION PROFESSIONNELLE ; VICTIME ; PREVENTION ; EDUCATION ; DEFINITION

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- 133 p.
Cote : F 3 HCE

Faisant le constat que l’adolescence est un moment révélateur des inégalités filles-garçons et des discriminations homophobes, le Haut Conseil à l’Egalité considère urgent de généraliser l’éducation à la sexualité, partie prenante de la construction des jeunes en tant que citoyen.ne responsable. L’Ecole a une obligation légale en matière d’éducation à la sexualité, mais elle ne peut pas tout toute seule. L’éducation à la sexualité est donc aussi l’affaire des médias, des familles, des jeunes eux-mêmes, mais aussi celle des clubs sportifs, des missions locales … et de tous les autres lieux de socialisation des jeunes.
Dans son rapport, le HCE préconise une prise de conscience de la société et un plan d’actions interministériel en faveur de l’éducation à la sexualité articulé autour de 30 recommandations et 4 grandes priorités :
1. Mieux connaitre et reconnaitre la sexualité des jeunes
2. Renforcer de manière ambitieuse la politique interministérielle d’éducation à la sexualité
3. Organiser, financer, évaluer et renforcer la visibilité de l’action de l’Education nationale en matière d’éducation à la sexualité
4. Responsabiliser les autres espaces clés de socialisation des jeunes hors-école pour prendre en compte leur parcours de vie.
Faisant le constat que l’adolescence est un moment révélateur des inégalités filles-garçons et des discriminations homophobes, le Haut Conseil à l’Egalité considère urgent de généraliser l’éducation à la sexualité, partie prenante de la construction des jeunes en tant que citoyen.ne responsable. L’Ecole a une obligation légale en matière d’éducation à la sexualité, mais elle ne peut pas tout toute seule. L’éducation à la sexualité est donc ...

EDUCATION A LA SEXUALITE ; EGALITE HOMME-FEMME ; JEUNESSE ; ADOLESCENT ; SEXUALITE DES JEUNES ; SEXUALITE DE L'ADOLESCENT ; PREMIER RAPPORT SEXUEL ; GROSSESSE DE L'ADOLESCENTE ; CONTRACEPTION DES JEUNES ; INTERNET ; POLITIQUE ; HISTOIRE ; CITOYENNETÉ ; EDUCATION NATIONALE ; LEGISLATION ; SOCIALISATION ; PLANNING FAMILIAL ; CENTRE DE PLANIFICATION ; CENTRE D'INFORMATION ; MEDIA

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- 101 p.
Cote : E 6 LAU

Le volet 1 du rapport sur l'accès à l'IVG publié en septembre 2013 faisait état de la grande place d'internet dans la recherche d'information en matière de santé, et plus particulièrement pour les femmes et les jeunes. Or le Haut conseil constatait la forte présence des mouvements anti-avortement sur internet, entravant l'accès à une information fiable et de qualité. Compte tenu de ce constat, le Haut Conseil recommandait le financement d'un dispositif global d'information et de communication à quatre piliers : site internet institutionnel, numéro de téléphone national unique à quatre chiffres anonyme et gratuit, équipe assurant la veille et l'animation des outils, et campagne nationale d'information. Dans ce volet 2, le Haut conseil s'intéresse plus globalement aux difficultés pour l'accès aux services IVG dans l'organisation territoriale des soins, avec d'importantes disparités d'accès entre les territoires. Pour lutter contre les obstacles rencontrés par les femmes dans l'accès à l'IVG, le HCE complète les recommandations formulées dans le volet 1 : faire de l'IVG un droit à part entière en poursuivant la modernisation de la loi ; développer une offre de soins permettant aux femmes un accès rapide et de proximité à l'IVG et leur garantissant le choix de la méthode, la gratuité et la confidentialité ; clarifier les responsabilités, organiser un véritable suivi de l'activité et permettre la coordination des professionnel-le-s.
Le volet 1 du rapport sur l'accès à l'IVG publié en septembre 2013 faisait état de la grande place d'internet dans la recherche d'information en matière de santé, et plus particulièrement pour les femmes et les jeunes. Or le Haut conseil constatait la forte présence des mouvements anti-avortement sur internet, entravant l'accès à une information fiable et de qualité. Compte tenu de ce constat, le Haut Conseil recommandait le financement d'un ...

AVORTEMENT ; DROIT ; INFORMATION ; DELAIS D'ATTENTE ; DELAIS DE REFLEXION ; TECHNIQUE D'AVORTEMENT ; COUT ; REMBOURSEMENT ; STATISTIQUE

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- 36 p.
Cote : E 6 LAU

Réalisé à la demande de la ministre des droits des femmes par la Commission « Santé, droits sexuels et reproductifs » du Haut conseil, ce rapport part d'un double constat : des difficultés pour l'accès aux services IVG dans l'organisation territoriale des soins, avec d'importantes disparités d'accès entre les territoires ; une information publique sur l'IVG trop peu visible sur internet et en concurrence avec des sites délivrant une information biaisée. Après un état des lieux de l'information relative à l'avortement sur internet et un décryptage des stratégies des organisations anti-IVG (ou « anti-choix »), le rapport présente les pistes juridiques envisagées, avant de détailler les recommandations retenues sur le terrain de l'information et de la communication (financement d'un dispositif global d'information et de communication à quatre piliers : site internet institutionnel, numéro de téléphone national unique à quatre chiffres anonyme et gratuit, équipe assurant la veille et l'animation des outils, et campagne nationale d'information). A noter que le présent document correspond à un pré-rapport portant spécifiquement sur l'information relative à l'avortement sur internet, appelé « Volet 1 ». Un rapport global portant plus généralement sur l'accès à l'IVG, appelé « Volet 2 » et publié en novembre 2013, est également disponible.
Réalisé à la demande de la ministre des droits des femmes par la Commission « Santé, droits sexuels et reproductifs » du Haut conseil, ce rapport part d'un double constat : des difficultés pour l'accès aux services IVG dans l'organisation territoriale des soins, avec d'importantes disparités d'accès entre les territoires ; une information publique sur l'IVG trop peu visible sur internet et en concurrence avec des sites délivrant une information ...

AVORTEMENT ; INFORMATION ; MOUVEMENT ANTICHOIX ; INTERNET ; ASPECT JURIDIQUE ; DROIT

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Le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes est créé par décret du président de la République François Hollande, du Premier ministre Jean-Marc Ayrault le 3 janvier 2013. Il a été inscrit dans la loi relative à l’égalité et à la citoyenneté du 27 janvier 2017 qui lui confie une nouvelle mission : un rapport annuel sur l’état du sexisme en France.
Selon le décret de création du Haut Conseil, ce dernier « a pour mission d’assurer la concertation avec la société civile et d’animer le débat public sur les grandes orientations de la politique des droits des femmes et de l’égalité ».
Il contribue à l’évaluation des politiques publiques qui concernent l’égalité entre les femmes et les hommes en assurant l’évaluation des études d’impact des lois, en recueillant et diffusant les analyses liées à l’égalité et en formulant des recommandations, des avis au Premier ministre.
Le Haut Conseil peut être saisi de toute question par le.la Premièr.e ministre ou la.la ministre chargé.e des droits des femmes. Il peut se saisir de toute question de nature à contribuer aux missions qui lui sont confiées.
Le Haut Conseil à l’égalité entre les femmes et les hommes est créé par décret du président de la République François Hollande, du Premier ministre Jean-Marc Ayrault le 3 janvier 2013. Il a été inscrit dans la loi relative à l’égalité et à la citoyenneté du 27 janvier 2017 qui lui confie une nouvelle mission : un rapport annuel sur l’état du sexisme en France.
Selon le décret de création du Haut Conseil, ce dernier « a pour mission d’assurer la ...

EGALITE HOMME-FEMME ; EGALITE DES SEXES ; STEREOTYPE ; SEXISME ; PARITE HOMME-FEMME ; SANTE SEXUELLE ; SANTE REPRODUCTIVE ; VIOLENCE A L'EGARD DE LA FEMME ; VIOLENCE DE GENRE

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Type
Référence
Descripteurs

EGALITE HOMME-FEMME [5]

SEXISME [5]

AVORTEMENT [4]

DROIT [4]

STEREOTYPE [4]

FRANCE [3]

INFORMATION [3]

INTERNET [3]

POLITIQUE [3]

ASPECT JURIDIQUE [2]

DEFINITION [2]

EGALITE DES SEXES [2]

FORMATION PROFESSIONNELLE [2]

GENRE [2]

LEGISLATION [2]

PARITE HOMME-FEMME [2]

REMBOURSEMENT [2]

STATISTIQUE [2]

VIOLENCE A L'EGARD DE LA FEMME [2]

VIOLENCE SEXUELLE [2]

ADOLESCENT [1]

ARGENT [1]

ASPECT MEDICAL [1]

ASSOCIATION [1]

CENTRE D'INFORMATION [1]

CENTRE DE PLANIFICATION [1]

CITOYENNETÉ [1]

CONDITION FEMININE [1]

CONTRACEPTION DES JEUNES [1]

COUT [1]

DELAIS D'ATTENTE [1]

DELAIS DE REFLEXION [1]

DROITS DES FEMMES [1]

ECOLE [1]

EDUCATION [1]

EDUCATION A LA SEXUALITE [1]

EDUCATION NATIONALE [1]

ENQUETE [1]

ENSEIGNANT [1]

ENSEIGNEMENT [1]

FAMILLE [1]

FEMINISME [1]

GROSSESSE DE L'ADOLESCENTE [1]

GUIDES [1]

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