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Documents  VIGARELLO, Georges | enregistrements trouvés : 10

     

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- 463 p.
Cote : A 2 VIG

Le corps occupe un lieu dans l’espace. Objet matériel, il peut être touché, senti, contemplé. Les savants le manipulent, le dissèquent, le mesurent, le travaillent. À côté de ce corps expérimental, il existe un corps qui éprouve plaisir et douleur. Entre ces deux pôles surgit une tension souvent négligée par l’historien : le deuxième volume de cette Histoire du corps s’emploie à rétablir l’équilibre.
Il montre comment les innovations du XIXe siècle bouleversent le rapport au corps et l’inscrivent au centre de nouvelles représentations sociales : des découvertes médicales aux progrès de l’hygiène, de l’émergence de la sexologie à l’essor du sport et jusqu’aux inventions industrielles, le corps est au cœur de mutations majeures, qui annoncent déjà les profondes transformations qu’il connaîtra au XXe siècle.
Le corps occupe un lieu dans l’espace. Objet matériel, il peut être touché, senti, contemplé. Les savants le manipulent, le dissèquent, le mesurent, le travaillent. À côté de ce corps expérimental, il existe un corps qui éprouve plaisir et douleur. Entre ces deux pôles surgit une tension souvent négligée par l’historien : le deuxième volume de cette Histoire du corps s’emploie à rétablir l’équilibre.
Il montre comment les innovations du XIXe ...

CORPS ; REVOLUTION ; GUERRE ; MEDECIN ; RELIGION ; PLAISIR ; SOUFFRANCE ; HANDICAP ; HYGIENE ; SPORT

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- 611 p.
Cote : A 2 VIG

Le corps est devenu un objet d'histoire, car tributaire, dans ses formes, et ses mises en scène, de conditions matérielles et culturelles qui varient.
C'est l'émergence du corps "moderne" qu'évoque d'abord ce livre - un corps dont les attributs sont imaginés indépendamment de l'influence des planètes, des forces occultes ou des amulettes. Non que disparaissent, loin s'en faut, les références sacrées. Mais un conflit de culture s'avive avec la Renaissance où le corps se singularise dans toute son autonomie. A quoi s'ajoute un intense travail de la modernité sur les frontières du soi, les pulsions, les désirs : contrôle des politesses et des sociabilités, polissage des violences, autosurveillance des gestes dans l'univers de l'intime. Une accentuation des affranchissements individuels balance une accentuation des impositions collectives.
Le corps est devenu un objet d'histoire, car tributaire, dans ses formes, et ses mises en scène, de conditions matérielles et culturelles qui varient.
C'est l'émergence du corps "moderne" qu'évoque d'abord ce livre - un corps dont les attributs sont imaginés indépendamment de l'influence des planètes, des forces occultes ou des amulettes. Non que disparaissent, loin s'en faut, les références sacrées. Mais un conflit de culture s'avive avec la ...

CORPS ; HISTOIRE ; CULTURE ; EGLISE ; SEXUALITE ; ANATOMIE ; SANTE ; MALADIE

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- 157 p.
Cote : C 0 VIG

« SOS Silhouette » proclame, avec insistance, le titre d’un livre récent. La silhouette et son profil d’emblée visible sont devenus indices de bien-être possible, voire de conformité, autant qu’indices de troubles possibles, voire de danger. L’une et l’autre doivent être l’objet de surveillance intime. Ils doivent s’évaluer, se travailler. L’état de la silhouette est quasiment aujourd’hui une valeur : une présentation spécifique de soi.
Ce mot « silhouette » pourtant, apparu dans les années 1760, longtemps cantonné à l’univers des dessinateurs, n’a pas toujours eu l’enjeu qu’il cristallise aujourd’hui. Ses glissements de sens sont nombreux. Ils révèlent la place croissante prise par le regard porté aux allures et aux anatomies. Comme ils révèlent la place croissante prise par les pratiques censées les maîtriser. Cette histoire du thème n’est pas faite.
Le mot, les images qu’il suscite, les comportements qu’il réfère, ne sont étudiés ni dans leur itinéraire iconographique ou lexical, ni dans leur itinéraire culturel. Aucun doute pourtant : cette histoire a un sens, une « logique » conduisant à faire de la silhouette, avec notre modernité, l’objet d’un défi inégalé et que ce livre s'attache à dévoiler.
« SOS Silhouette » proclame, avec insistance, le titre d’un livre récent. La silhouette et son profil d’emblée visible sont devenus indices de bien-être possible, voire de conformité, autant qu’indices de troubles possibles, voire de danger. L’une et l’autre doivent être l’objet de surveillance intime. Ils doivent s’évaluer, se travailler. L’état de la silhouette est quasiment aujourd’hui une valeur : une présentation spécifique de soi.
Ce mot ...

CORPS ; IMAGE DE LA FEMME ; IMAGE DE L'HOMME ; HISTOIRE

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- 566 p.
Cote : C 2 COR

En ce début de XXIe siècle, la rumeur enfle en Occident : les hommes ne seraient plus des hommes, des « vrais ». De ce malaise dans la part masculine de la civilisation, la virilité reste un indicateur crucial. Car c'est bien sur cet idéal de force physique et de puissance sexuelle, de maîtrise et de courage que s'est historiquement construit dans la culture ce qui passe pour la « nature » de l'homme. Et demeure le socle la domination masculine.
Or une crise se propage, semble-t-il, dans l'Empire du mâle : les carnages guerriers ont élimé l'étoffe des héros, le retour cyclique des dépressions économiques érodé la fierté du travailleur, la montée des conformismes tari les goûts d'aventure. L'éveil et les progrès de l'égalité entre les sexes, les avancées du féminisme sont venus contester d'anciens privilèges et d'inacceptables violences.
Il y a donc un paradoxe de la virilité contemporaine : comment comprendre que cette représentation hégémonique de la puissance masculine ait fini par apparaître aussi incertaine ? Les hommes d'aujourd'hui entendent-ils porter longtemps encore cette charge millénaire ou vont-ils souhaiter sentir s'en alléger le poids ? Quitte à renoncer à ses avantages...
En ce début de XXIe siècle, la rumeur enfle en Occident : les hommes ne seraient plus des hommes, des « vrais ». De ce malaise dans la part masculine de la civilisation, la virilité reste un indicateur crucial. Car c'est bien sur cet idéal de force physique et de puissance sexuelle, de maîtrise et de courage que s'est historiquement construit dans la culture ce qui passe pour la « nature » de l'homme. Et demeure le socle la domination m...

VIRILITE ; HISTOIRE ; HOMME ; IMAGE DE L'HOMME ; CORPS ; ANTHROPOLOGIE ; DOMINATION ; MASCULINITE ; LITTERATURE JEUNESSE ; FANTASME SEXUEL ; HOMOSEXUALITE

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- 493 p.
Cote : C 2 COR

La période concernée par ce deuxième volume correspond à l’emprise maximale de la vertu de virilité. Le système de représentations, de valeurs et de normes qui la constitue s’impose alors avec une telle force qu’il ne saurait être véritablement contesté.
La multiplication des lieux de l’entre-soi masculin ? le collège, le pensionnat, le séminaire, le caveau de la société chantante, le bordel, la salle de garde, la salle d’armes, le fumoir, nombre d’ateliers et de cabarets, en attendant la réunion politique et la société de chasse ? constituent autant de théâtres de l’inculcation et de l’épanouissement des traits qui dessinent la figure de l’homme viril.
Au XIXe siècle, la virilité, qui a partie liée avec la mort ? mort héroïque sur le champ de bataille ou le pré carré du duel, mort provoquée par la fatigue du travailleur, mort d’épuisement de l’homme par la femme ? ne constitue pas une simple vertu individuelle. Elle ordonne, irrigue la société dont elle sous-tend les valeurs. Elle induit des effets de domination. Elle structure la représentation du monde.
La période concernée par ce deuxième volume correspond à l’emprise maximale de la vertu de virilité. Le système de représentations, de valeurs et de normes qui la constitue s’impose alors avec une telle force qu’il ne saurait être véritablement contesté.
La multiplication des lieux de l’entre-soi masculin ? le collège, le pensionnat, le séminaire, le caveau de la société chantante, le bordel, la salle de garde, la salle d’armes, le fumoir, ...

VIRILITE ; HISTOIRE ; HOMME ; IMAGE DE L'HOMME ; CORPS ; XIXème siècle ; ENFANCE

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- 577 p.
Cote : C 2 COR

La virilité serait vertu. Elle viserait le « parfait », fondant sur un idéal de domination masculine une des caractéristiques des sociétés occidentales. Une puissance a été inventée, de la force physique au courage moral, imposant ses codes, ses rituels, sa formation.
Tradition plus complexe pourtant, elle ne saurait en rien figer la virilité dans une histoire immobile. Les qualités se recomposent avec le temps. La société marchande ne saurait avoir le même idéal viril que la société militaire. Le courtisan ne saurait avoir le même idéal viril que le chevalier. La cour et la ville inventent des modèles décalés. Ce sont ces différences et ces changements que retrace ce premier volume, de l’Antiquité jusqu’aux Lumières, introduisant de l’histoire dans ce qui semble ne pas en avoir.
Tradition sévère aussi, la perfection serait toujours menacée de quelque insuffisance : la force ne peut ignorer la fragilité. Reste une rupture marquante avec les Lumières : celle visant la domination elle-même. Une virilité nouvelle s’y affirme. L’ancienne ascendance est condamnée, les pères peuvent apparaître en « tyrans », alors même que rien ne conteste encore la domination sur le féminin.
La virilité serait vertu. Elle viserait le « parfait », fondant sur un idéal de domination masculine une des caractéristiques des sociétés occidentales. Une puissance a été inventée, de la force physique au courage moral, imposant ses codes, ses rituels, sa formation.
Tradition plus complexe pourtant, elle ne saurait en rien figer la virilité dans une histoire immobile. Les qualités se recomposent avec le temps. La société marchande ne saurait ...

VIRILITE ; HISTOIRE ; HOMME ; ANTIQUITE CLASSIQUE ; XVIIIème siècle ; GRECE ; IMAGE DE L'HOMME

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- 362 p.
Cote : A 2 VIG

Des formes luxuriantes des Vénus de Titien aux mannequins exsangues du XXIe siècle, de la valorisation des chairs à l'apologie de la maigreur, Georges Vigarello retrace la genèse de l'obsession contemporaine du corps mince et sain, libéré de la pesanteur du gras, et met au jour l'ancienneté de la préoccupation féminine de la minceur-sous de multiples formes au cours des âges.
Des gros en majesté, des gloutons méprisés jusqu'à la stigmatisation récente de l'obésité, la perception du gras n'a cessé d'évoluer: à l'origine symbole d'opulence, de puissance et de prestige, l'embonpoint est ensuite perçu comme un signe de relâchement autant physique que moral, et la société condamne aujourd'hui ce qui apparaît comme un échec inacceptable de la volonté. Le corps humain abrite et reflète les tensions sociales qui opposent pauvres et nantis, puissants et dominés, hommes et femmes...
et tend à la société un miroir où forme(s) et poids se révèlent des repères essentiels de la civilisation occidentale. A travers l'autopsie des corps adipeux, l'inventaire des techniques médicales d'amaigrissement, l'apparition progressive de la balance et des régimes, cette histoire inédite met en lumière la dictature de l'apparence, qui ne semble pas devoir un jour cesser.
Des formes luxuriantes des Vénus de Titien aux mannequins exsangues du XXIe siècle, de la valorisation des chairs à l'apologie de la maigreur, Georges Vigarello retrace la genèse de l'obsession contemporaine du corps mince et sain, libéré de la pesanteur du gras, et met au jour l'ancienneté de la préoccupation féminine de la minceur-sous de multiples formes au cours des âges.
Des gros en majesté, des gloutons méprisés jusqu'à la stigmatisation ...

IMAGE DE L'HOMME ; IMAGE DE LA FEMME ; OBESITE ; HISTOIRE ; CORPS ; DISCRIMINATION

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- 236 p.
Cote : A 4.2 DAM

Etre SDF RMIste, domicilié précaire, ne plus avoir d'existence sociale reconnue : des centaines de milliers de nos concitoyens subissent des situations dont le point commun est qu'ils n'ont plus qu'une seule et ultime ressource, leur propre corps.
Mesure-t-on réellement ce que cela signifie ? Non. Parce qu'il faut le vivre pour le savoir, et aussi parce que cela fait trop peur. N'avoir que son corps, test devoir tout miser sur lui. C'est l'inscrire, et soi-même avec, dans une trajectoire impitoyable : fonctionnement en " sur-régime " constant, surexploitation, surexposition... entraînant au final, des dégradations irréversibles. Quid alors des " projets d'avenir " ? Gisèle Dambuyant-Wargny a enquêté.
Par son approche sociologique, elle dissèque ces logiques de " gestion " du corps précaire que notre société et les divers professionnels ne prennent peut-être pas assez en compte. Préfacé par Georges Vigarello, cet ouvrage éclaire de manière plus générale le corps aujourd'hui : ici, des corps surexploités pour survivre, là des stratégies pour satisfaire aux exigences de performance. Partout, une certaine misère.
Etre SDF RMIste, domicilié précaire, ne plus avoir d'existence sociale reconnue : des centaines de milliers de nos concitoyens subissent des situations dont le point commun est qu'ils n'ont plus qu'une seule et ultime ressource, leur propre corps.
Mesure-t-on réellement ce que cela signifie ? Non. Parce qu'il faut le vivre pour le savoir, et aussi parce que cela fait trop peur. N'avoir que son corps, test devoir tout miser sur lui. C'est ...

CORPS ; PRECARITE ; ASPECT SOCIOLOGIQUE

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- 463 p.
Cote : A 2 VIG

Cet ouvrage collectif est consacré à l'histoire du corps et aux profondes mutations accomplies depuis le XXème siècle.
Jamais, avant le XXe siècle, le corps humain n’avait connu de tels bouleversements. Le déplacement du rapport entre santé et maladie, corps normal et anormal, vie et mort dans une société toujours plus médicalisée ; la légitimité accordée au plaisir en même temps que l’émergence de nouvelles normes et de nouveaux pouvoirs, biologiques et politiques ; la recherche du bien-être individuel et l’extrême violence de masse, le contact des peaux dans la vie intime et la saturation de l’espace public par la froideur des simulacres sexuels… : tels sont quelques-uns des paradoxes nourrissant le rapport du sujet contemporain à son corps. L’histoire du corps ne fait que commencer.
Un index des noms cités vient compléter cet ouvrage.
Cet ouvrage collectif est consacré à l'histoire du corps et aux profondes mutations accomplies depuis le XXème siècle.
Jamais, avant le XXe siècle, le corps humain n’avait connu de tels bouleversements. Le déplacement du rapport entre santé et maladie, corps normal et anormal, vie et mort dans une société toujours plus médicalisée ; la légitimité accordée au plaisir en même temps que l’émergence de nouvelles normes et de nouveaux pouvoirs, ...

CORPS ; MEDECINE ; SEXUALITE ; DESIR ; ANTHROPOLOGIE ; HANDICAP ; VIOLENCE ; GUERRE ; CINEMA

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- 357 p.
Cote : F 6 VIG

Cet ouvrage retrace l'histoire du viol et de ses obstacles opposés à cette conscience juridique de l'Ancien Régime au XXème siècle. Afin de reconsidérer le viol, l'espace psychique et le monde intime ont du etre repensés.

VIOL ; VIOLENCE A L'EGARD DE LA FEMME ; VIOLENCE

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